mercredi 10 octobre 2012

Nos étoiles ont filé

De Anne-Marie REVOL


Quatrième de couverture:

"Mes étoiles filantes, C'est étrange... Dans le vocabulaire courant, quand on perd son père, sa mère ou ses deux parents, on dit qu'on est "orphelin" Quand on perd sa femme, on dit qu'on est "veuf" Ou "veuve", quand c'est son époux. En revanche, quand on perd ses enfants, on ne dit rien. Il n'y a pas de mot pour désigner cet état."

Mon avis:

Je ne savais pas ce qui m'avait pris le jour où j'avais promis à mon amie de lire le livre qu'elle me passerait. Elle a pris soin de le choisir et a décidé que ce serait celui-là. 
Elle m'a prévenue maintes et maintes fois que j'allais pleurer que c'était très dur.

Elle a eu raison, j'ai pleuré mais elle avait tort sur le fait que c'était dur bien au contraire c'était facile, c'était presque agréable de lire ce qu'elle écrivait.
C'est la première fois que j'arrive à lire aussi vite un livre je crois. Je voulais lire dès que j'avais un peu de temps, je voulais comprendre cette peine, cette souffrance, cette réalité,....
Il n'y a pas d'échelle dans la douleur et un peu plus loin elle se questionne:

"- Souffre-t-on moins quand on perd son enfant petit que grand?
- Vaut-il mieux perdre tous ses enfants ou que certains seulement survivent? 
- Est-il plus supportable d'affronter la mort ou la maladie de son enfant? 
- Aurai-je préféré vous garder vivantes mais défigurées à vie ou mortes et intactes?"

Je pourrai poser des questions similaires sur mon vécu.... Des questions qui ne peuvent avoir de réponses...Des questions qui paraissent presque idiotes...
Je suis rentré en résonance avec ce livre avec ce témoignage parce que si n'importe qui peut comprendre cette douleur, cette peine, il y a des mots, des réflexions, des situations qui seuls peuvent faire réfléchir, émouvoir, faire se souvenir  des couples qui ont vécu des drames "similaires"( aucun drame n'est comparable bien évidemment).
La relation de couple qui est décrite est forte et on voit l'importance que chacun a l'un pour l'autre. Chacun a un rôle, chacun est là pour soutenir l'autre, chacun souffre à son tour.

La peur d'oublier est omniprésente et je la comprends d'autant plus aujourd'hui. Je l'envie d'avoir eu ce réflexe cette idée et cette force de mettre sur papiers le plus simplement, le régulièrement possible tout son ressenti.

Il s'en dégage une grande pudeur finalement et à la fois elle nous offre tout ce qui lui passe par la tête, des moments simples et presque anodins aux moments les plus intimes. 

J'avais peur de lire se livre, d'être un voyeur, de ne rien comprendre mais c'est devenu certainement un des livres qui m'ont le plus touché. Je viens de le finir et j'ai déjà envie de le redémarrer.

Merci Anne-Marie REVOL de m'avoir fait partager votre histoire.
Merci de me donner envie de coucher quelques lignes sur mon histoire pour ne pas oublier.
Merci Cécile de m'avoir fait découvrir ce livre mais pas tous les jours s'il te plait un livre bouleversant comme ça.


jeudi 4 octobre 2012

Le journal d'Anne Franck au théâtre

Adaptation de Eric Emmanuel SCHMITT



Une belle expérience !!!

Après un weekend passé à Amsterdam en début d'année durant lequel nous avons justement la maison d'Anne Franck et la découverte de cet auteur, c'est tout naturellement que nous sommes allés voir cette pièce.
Découverte de ce théâtre pour moi, on avait pris des place pratiquement au premier rang.
J'ai l'impression d'avoir découvert pour la première fois le théâtre. Francis Huster est tout bonnement touchant dans son rôle et le reste des acteurs tiennent leur rôle à merveille.
L'alternance des scènes est remarquable tantôt on rit on s'amuse tantôt on s'effondre devant la réalité de la situation.
Lors de la visite de "Ann Frank huis" à Amsterdam, les derniers mots sont d'Otto le père: "On ne connait jamais ces enfants".
Le choix d'E-E Schmitt est de partir de la fin à savoir l'acceptation de la morts de sa femme et de ses deux filles et la remise de du journal par "Meep"à Otto.
On va remonter le temps sur des scènes clefs de la vie quotidienne durant ces 3 années d'enfermement et alterner avec la lecture du journal et la découverte de sa vraie fille.

"Je ne suis qu'un père et je ne peux te donner qu'une vie avec une fin" 

mercredi 3 octobre 2012

A Mélie, sans mélo

De Barbara Constantine




Quatrième de couverture:


Mélie, 72 ans, vit seule à la campagne. Sa petite-fille, Clara, vient pour la première fois passer chez elle toutes les vacances d'été. La veille de son arrivée, Mélie apprend qu'elle a un problème de santé. Elle verra ça plus tard, La priorité, c'est sa Clarinette chérie. Mélie, le mélo, c'est pas son truc. Elle va passer l'été (le dernier ?) à fabriquer des souvenirs à Clara.

Mon avis:

J'ai envie de dire que c'est un coup de coeur pour moi.

J'ai adoré la façon dont c'est écrit, la simplicité des relations, la simplicité des sentiments, la joie qui s'en dégage,...

Je suis rentré dedans tout de suite dès le poème-dédicace qui m'a fait exploser de rire . Cette histoire est touchante de simplicité avec des personnages très attachants et drôles. Cette grand-mère pleine de vie qui veut offrir à sa petite fille le maximum de souvenirs de cet été qu'elle va passer avec elle.

Les histoires d'amour qui vont naître durant cet été sont très différentes, en fait elles sont générationnelles, l'amour de vacances, l'amour retrouvé de parents séparés et l'amour pour la vie.

C'est vraiment un livre que j'ai aimé lire. Mélie est un personnage très attendrissant et sa nouvelle relation est décrite simplement avec beaucoup de tendresse et de pudeur. Dans une société où imaginer ses parents avoir des relations intimes est déjà presque tabou, oser écrire et décrire une relation sur des grands parents cela parait inimaginable.

Le chapitre où l'auteure nous met dans la peau du lit est très bien trouvé je trouve.

Voilà une vraie découverte que m'a conseillée Piplo bien sûr, Merci d'ailleurs...





Milarepa

de Eric-Emmanuel SCHIMTT




Quatrième de couverture:

Simon fait chaque nuit le même rêve dont une femme énigmatique lui livre la clef : il est la réincarnation de l'oncle de Milarepa, le célèbre ermite tibétain du XIe siècle, qui vouait à son neveu une haine inexpiable.Pour sortir du cycle des renaissances, Simon doit raconter l'histoire des deux hommes, s'identifiant à eux au point de mêler leur identité et la sienne.Mais où commence le rêve, où finit le réel ?

Mon avis:


J'ai fini le livre il y a un moment et je ne savais pas trop quoi dire. Je clos ainsi le cycle de l'invisible par le premier ouvrage finalement.

Je ne m'attendais pas je pense en fait à un conte je crois. J'ai eu du mal à rentrer dedans malgré certains moments que j'ai trouvés très intéressants je n'ai pas accroché à la "double histoire". J'ai terminé le bouquin en me disant zut je suis passé à côté je crois.

Je devrais peut être le relire plus tard pour mieux comprendre le sens de ce texte.

Je ne peux donc pas dire que je suis déçu ni ravi par le livre.

lundi 13 août 2012

Ulysse from Bagdad

de Eric-Emmanuel SCHIMTT


Quatrième de couverture:

Saad veut quitter Bagdad, son chaos, pour gagner l'Europe, la liberté, un avenir. Mais comment franchir les frontières sans un dinar en poche ? Comment, tel Ulysse, affronter les tempêtes, survivre aux naufrages, échapper aux trafiquants d'opium, ignorer le champ des sirènes devenues rockeuses, se soustraire à la cruauté d'un geôlier cyclopéen ou s'arrêcher aux enchantements amoureux d'une Calypso sicilienne ? Tour à tour violent, bouffon, tragique, le voyage sans retour de Saad commence. D'aventures en tribulations, rythmé par les conversations avec un père tendre et inoubliable, ce roman narre l'exode d'un des million d'hommes qui, aujourd'hui, cherche une place sur la terre : un clandestin.

Mon avis:

C'est le premier roman que je lis de schmitt. Je n'ai pas été déçu encore une fois c'est écrit simplement avec des mots qui touchent. L'histoire d'un irakien avant et après la chute de Saddam Hussein. On est d'abord pris d'un sentiment d'injustice, d'impuissance de compassion lorsque saad nous décrit sa vie durant le règne du tyran puis au fur et à mesure ça se transforme en incompréhension en culpabilité et en colère après nous les occidentaux si fiers de nous.
J'ai pour la première fois voulu arrêter un livre de tristesse,de colère,...
J'ai mis plus d'une semaine avant de m'y remettre avec encore l'appréhension de ce qui allait arriver. Toutes ces aventures et mésaventures toutes ces rencontres vont nous amener à réfléchir sur notre perception des sans papiers. L'auteur n'a pas la prétention de nous plonger dans l'enfer que ces gens fuient et vivent pour s'en sortir. Il nous décrit certaines chose et nous fait bien comprendre que ce n'est que la face visible de l'iceberg. On apprend à réfléchir par ces rencontres à la condition humaine, à notre civilisation, à ce que l'on souhaiterait pour l'avenir.
Bon vous l'aurez compris cela m'a plu évidemment parce que comme d'habitude schmitt me touche me fait découvrir me fait réfléchir.

dimanche 15 juillet 2012

Le sumo qui ne pouvait pas grossir

de Eric-Emmanuel SCHIMTT

Quatrième de couverture:
Sauvage, révolté, Jun promène ses quinze ans dans les rues de Tokyo, loin d'une famille dont il refuse de parler.
Sa rencontre avec un maître du sumo, qui décèle un « gros » en lui malgré son physique efflanqué, l'entraîne dans la pratique du plus mystérieux des arts martiaux.Avec lui, Jun découvre le monde insoupçonné de la force, de l'intelligence et de l'acceptation de soi.
Mais comment atteindre le zen lorsque l'on n'est que douleur et violence ? Comment devenir sumo quand on ne peut pas grossir ?
Derrière les nuages, il y a toujours un ciel...


Mon avis:


J'ai encore une fois bien évidemment aimé cette histoire. Comme il nous l'a si bien expliqué lors de sa conférence, toute son histoire tourne autour de Jun un enfant qui vit dans la rue après avoir fui sa famille très jeune. 
Un enfant qui vit dans un monde de grand et qui s'est forgé une carapace pour pouvoir vivre en tout cas c'est ce qu'il pensait jusqu'à ce qu'il rencontre un Maître Sumo qui va le bousculer dans ses préjugés et dans sa vie...
De plus, j'ai trouvé un réel plaisir dans les dernières pages de cette "épisode"...


- Tu as raison, Jun. Le but ce n'est pas le bout du chemin, c'est le cheminement.
   - Voilà. Je ne veux pas triompher, je veux vivre.
   -Bien vu. La vie n'est ni un jeu ni un match, sinon il y aurait des gagnants."

mercredi 11 juillet 2012

Oscar et la dame rose

de Eric-Emmanuel SCHMITT


Quatrième de couverture:
Voici les lettres adressées à Dieu par un enfant de dix ans. 
Elles ont été retrouvées par Marie Rose, la dame rose qui vient lui rendre visite à l'hôpital pour enfants. Elles décrivent douze jours de la vie d'Oscar, douze jours cocasses et poétiques, douze jours pleins de personnages drôles et émouvants. 
Ces douze jours seront peut-être les douze derniers. Mais, grâce à Mamie Rose qui noue avec Oscar un très fort lien d'amour, ces douze jours deviendront légende.


Mon avis:


Je l'ai acheté cet après midi et je l'ai déjà lu alors il est court certes mais cela montre surtout l'engouement que j'ai à lire ces oeuvres.
J'ai eu envie de lire pour deux raisons la première est que j'ai eu envie de le lire pour le découvrir et l'autre parce que je travaille dans un milieu confronté quotidiennement à la mort et que ce type de déni et tabou existe malheureusement encore trop souvent.
Une leçon de vie encore une fois amenée par un enfant aux adultes. Des dialogues crus mais tellement authentiques, des liens entre les personnages très forts, une simplicité si touchante...

mardi 10 juillet 2012

Un moment exceptionnel

Aujourd'hui rencontre au festival d'Avignon de M. Eric-Emmanuel SCHMITT...


Voilà je n'ai, je crois, jamais eu aussi peur de rencontrer quelqu'un, de parler à quelqu'un, de dire merci à quelqu'un.
Certains rêvent de rencontrer un footballeur, un acteur, un chanteur, ce n'était pas mon cas mais là je me suis rendu compte de ce que pouvait être une rencontre hors du commun. Cet homme je l'ai écouté pendant peut-être une heure et demie parler de sa vision de l'écriture et de la vie. J'aurais aimé que cela dure encore. je buvais ses paroles. Je repensais à mes lectures. Je réfléchissais à ma vie.
J'ai eu du mal à lui dire simplement "Merci" je tremblais je bafouillais ce qui n'est pas du tout mon habitude mais la simplicité de ses paroles, de son écriture, de la personne m'ont tout simplement touché.


Merci M. Schmitt de m'avoir ramené et réconcilié avec la lecture, merci de donner du sens...



Voici le lien vers un article plus complet fait par Piplo:
Rencontre avec Eric-Emmanuel Schmitt!

dimanche 8 juillet 2012

Si je reste !

Quatrième de couverture : 

Mia a 17 ans. Un petit ami, rock star en herbe. Des parents excentriques. Des copains précieux. Un petit frère craquant. Beaucoup de talent et la vie devant elle. 
Quand, un jour, tout s'arrête. Tous ses rêves, ses projets, ses amours. Là, dans un fossé, au bord de la route. Un banal accident de voiture... 
Comme détaché, son esprit contemple son propre corps, brisé. Mia voit tout, entend tout. Transportée à l'hôpital, elle assiste à la ronde de ses proches, aux diagnostics des médecins. Entre rires et larmes, elle revoit sa vie d'avant, imagine sa vie d'après. Sortir du coma, d'accord, mais à quoi bon ? Partir, revenir ? Si je reste...


Mon avis:


Tout est dit dans la quatrième de couverture, vraiment tout, il n'y pas vraiment de surprise. On  est happé par l'histoire de cette fille et c'est grâce au style de l'auteur. J'ai été pris par la vie de cette fille simple d'un coin paumé des Etats Unis et qui rencontre un Rockeur en herbe. La rencontre de deux mondes différents rock et musique classique unis par l'amour de la musique.
Toute sa vie est détaillée avec des nombreux flashback ce qui parfois nous frustre car cela entrecoupe l'histoire à des moments clés. Je n'avais pas envie que le livre se termine à tel point que j'étais heureux de savoir que piplo avait acheté la suite.
Il m'a procuré pas mal d'émotions ce livre, j'ai beaucoup aimé bien évidemment. A tel point que je vais lire "Là où j'irai" dans la foulée.
  
    

lundi 18 juin 2012

L'enfant de Noé

de Eric-Emmanuel SCHMITT



Quatrième de couverture:

L'enfant de Noé « - Nous allons conclure un marché, veux-tu ? Toi, Joseph, tu feras semblant d'être chrétien, et moi je ferai semblant d'être juif. Ce sera notre secret, le plus grand des secrets. Toi et moi pourrions mourir de trahir ce secret. Juré ? - Juré. »




Mon avis:


Encore un livre du cycle de l'invisible de cet auteur vous direz mais quand c'est aussi simplement écrit c'est juste agréable de lire.
L'histoire d'un prêtre qui cache des enfants juifs dans un pensionnat et tout particulièrement le petit Josef. On se rend vite compte que à l'époque rien n'est blanc ou noir, Il y a des gens héroïques, des gens normaux, des gens abjectes, il y a des humains. C'est juste que les comportements sont exacerbés et que l'on se retrouve avec des extrêmes.On est surpris, on est touché, on est stressé par moment. C'est incontestablement un auteur coup de coeur pour moi. Je vais essayer de le rencontrer en Avignon cet été et je n'ai qu'une envie s'est de lui dire merci.... 

Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran

de Eric-Emmanuel SCHMITT

      Quatrième de couverture:

Paris, années soixante. Momo, un petit garçon juif de douze ans, devient l'ami du vieil épicier arabe de la rue Bleue. Mais les apparences sont trompeuses : Monsieur Ibrahim, l'épicier, n'est pas arabe, la rue Bleue n'est pas bleue et l'enfant n'est peut-être pas juif…

Mon avis:


Encore un livre de Monsieur Schmitt que l'ai lu en une fois, un soir. Ma première impression a été de me dire c'est trop rapide, ça manque de détails... Et puis j'ai commencé à en parler avec Piplo et là, stupéfaction, j'avais pleins de choses à dire. En fait, tout comme le précédent roman de lui que j'ai lu, je m'aperçois que tout est là. Le reste ne serait que superflu...
Voilà c'est mon deuxième roman de cet auteur et je n'ai qu'une envie c'est de continuer à le lire...

dimanche 17 juin 2012

Exit

Tout est dans le sous titre :

"Vous avez raté votre vie? Réussissez votre mort!"

Mon avis :
On se doute d'entrée que forcément ce n'est pas si simple et qu'une fois le pied dans l'engrenage rien ne devient facile. Bon le scénario est couru d'avance mais il y a des rebondissements le concept est sympa et les graphismes sont plaisants.
Je lis en général des BD en série et pas comme un roman, ça change et c'est une nouvelle approche de la BD pour moi.
Je ne savais pas que Bernard Werber s'était mis à la BD et le résultat est très agréable.
J'ai deux autres BD tirées de ses nouvelles à lire aussi.



dimanche 6 mai 2012

L'homme qui voulait être heureux



 de Laurent Gounelle.



Quatrième de couverture:

Imaginez…
Vous êtes en vacances à Bali et peu de temps avant votre retour, vous consultez un vieux guérisseur. Sans raison particulière, juste parce que sa grande reputation vous a donné envie de le rencontrer, au cas où…
Son diagnostic est formel: vous êtes en bonne santé, mais vous n’êtes pas … heureux.
Porteur d’une sagesse infinite, ce vieil homme semble vous connaître mieux que vous-même. L’éclairage très particulier qu’il apporte à votre vécu va vous entraîner dans l’aventure la plus captivante qui soit: celle de la découverte de soi. Les experiences dans lesquelles il vous conduit vont bouleverser votre vie, en vous donnant les clés d’une existence à la hauteur de vos rêves.


Ce que j'en dis::

Outre le fait qu’il m’a été offert par un ami avec une dédicace toute particulière, C’est peut être le premier livre de ce genre que j’ai lu, sans aventure je veux dire.  La quête du Bonheur d’un homme, la quête de liberté  d’un voyageur venu à la rencontre un vieil homme.
Ce vieil homme qui sans cesse le remettra en question sur ces choix, ses priorités, ses envies va lui permettre d’ouvrir les yeux…
C’est rare que je lise un livre aussi rapidement  mais c’était avec une réelle envie que je l’ouvrais chaque soir. C’est vraiment un livre qui m’a plu et qui me donne envie de lire son second ouvrage mais pour le coup ce dernier est consequent pour un lecteur occasionnel comme moi … à suivre.


Les dix enfants que madame Ming n'a jamais eus

de Eric-Emmanuel SCHMITT



Quatrième de couverture:

Madame Ming aime parler de ses dix enfants vivant dans divers lieux de l'immense Chine. Fabule-t-elle, au pays de l'enfant unique ? A-t-elle contourné la loi ? Aurait-elle sombré dans une folie douce ? Et si cette progéniture n'était pas imaginaire ?
L'incroyable secret de Madame Ming rejoint celui de la Chine d'hier et d'aujourd'hui, éclairé par la sagesse immémoriale de Confucius.


Ce que j'en dis:

C’est un livre acheté en gare du Nord pour m’occuper l’esprit pendant le trajet vers la Hollande et aussi pour participer au challenge de Piplo c’est vrai.

Quelle surpise pour moi d’avoir lu un livre d’une seule traite certes il n’est pas épais et écrit gros mais tout de même…

C’est un livre qui m’a beaucoup rappelé celui de Laurent Gounelle dans cette rencontre qui mêle fascination, crainte, amertume, colère et joie.

Deux personnes que tout oppose vont finir par échanger et se découvrir. Une  rencontre qui m’a énormément séduite et passionnée au point de dévorer ce livre. Très bien écrit je vais tenter un autre roman de lui prochainement, c’est sûr.


Kyo




Synopsis:


Quatre ans après la Bataille de Sekigahara, Kyoshiro devient un samouraï errant. An détour d'un chemin semé d'embuches, il se découvrira un double terrifiant: Kyo aux yeux de démons.

Mon avis:

Piplo m'a offert les premiers tomes et j'ai tout de suite accroché aux différents personnages.

J'étais à ce moment là très loin de m'attendre à la multitude des personnages qui feront leur apparition tout au long de la série. J'ai dévoré cette série que je viens à nouveau de relire très récemment. Les liens qui unissent les personnages sont tellement différents mais finalement ce n'est ni plus ni moins qu'une grande histoire d'amitié entre une quinzaine de personnages. 

La série est très rythmée quelque soit le tome on devient très vite accroc. 
Il y a 38 tomes qui se lisent finalement trop vite...